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En collaboration avec
Jonathan Gagnon
Louis Guilhou
Jacob Lacasse
En collaboration avec
Jonathan Gagnon
Louis Guilhou
Jacob Lacasse
À force d’observer son reflet à l’écran, on en vient à oublier ce qui est réel dans le numérique. À la lumière de son objectif, ce caméscope surdimensionné transpose votre image et seulement à ce moment verrez-vous se défiler les réalités déformées, manipulées.
La post-vérité s’attaque à l’imaginaire social. Elle fabrique une fiction, mais elle n’enrichit pas le réel, elle le détruit. À l’ère des fake news et la montée en puissance de la désinformation, dénoter le vrai du faux est presque devenu chose impossible. Trois oeuvres nous obligent à faire face à un problème invisible, jouant sur les apparences trompeuses, sur la limite entre le vrai et le faux. Le public est invité à participer de manière active aux installations et à réfléchir au phénomène à travers celles-ci.
À force d’observer son reflet à l’écran, on en vient à oublier ce qui est réel dans le numérique. À la lumière de son objectif, ce caméscope surdimensionné transpose votre image et seulement à ce moment verrez-vous se défiler les réalités déformées, manipulées.
La post-vérité s’attaque à l’imaginaire social. Elle fabrique une fiction, mais elle n’enrichit pas le réel, elle le détruit. À l’ère des fake news et la montée en puissance de la désinformation, dénoter le vrai du faux est presque devenu chose impossible. Trois oeuvres nous obligent à faire face à un problème invisible, jouant sur les apparences trompeuses, sur la limite entre le vrai et le faux. Le public est invité à participer de manière active aux installations et à réfléchir au phénomène à travers celles-ci.
À force d’observer son reflet à l’écran, on en vient à oublier ce qui est réel dans le numérique. À la lumière de son objectif, ce caméscope surdimensionné transpose votre image et seulement à ce moment verrez-vous se défiler les réalités déformées, manipulées.
La post-vérité s’attaque à l’imaginaire social. Elle fabrique une fiction, mais elle n’enrichit pas le réel, elle le détruit. À l’ère des fake news et la montée en puissance de la désinformation, dénoter le vrai du faux est presque devenu chose impossible. Trois oeuvres nous obligent à faire face à un problème invisible, jouant sur les apparences trompeuses, sur la limite entre le vrai et le faux. Le public est invité à participer de manière active aux installations et à réfléchir au phénomène à travers celles-ci.
À force d’observer son reflet à l’écran, on en vient à oublier ce qui est réel dans le numérique. À la lumière de son objectif, ce caméscope surdimensionné transpose votre image et seulement à ce moment verrez-vous se défiler les réalités déformées, manipulées.
La post-vérité s’attaque à l’imaginaire social. Elle fabrique une fiction, mais elle n’enrichit pas le réel, elle le détruit. À l’ère des fake news et la montée en puissance de la désinformation, dénoter le vrai du faux est presque devenu chose impossible. Trois oeuvres nous obligent à faire face à un problème invisible, jouant sur les apparences trompeuses, sur la limite entre le vrai et le faux. Le public est invité à participer de manière active aux installations et à réfléchir au phénomène à travers celles-ci.
À force d’observer son reflet à l’écran, on en vient à oublier ce qui est réel dans le numérique. À la lumière de son objectif, ce caméscope surdimensionné transpose votre image et seulement à ce moment verrez-vous se défiler les réalités déformées, manipulées.
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À force d’observer son reflet à l’écran, on en vient à oublier ce qui est réel dans le numérique. À la lumière de son objectif, ce caméscope surdimensionné transpose votre image et seulement à ce moment verrez-vous se défiler les réalités déformées, manipulées.
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À force d’observer son reflet à l’écran, on en vient à oublier ce qui est réel dans le numérique. À la lumière de son objectif, ce caméscope surdimensionné transpose votre image et seulement à ce moment verrez-vous se défiler les réalités déformées, manipulées.
La post-vérité s’attaque à l’imaginaire social. Elle fabrique une fiction, mais elle n’enrichit pas le réel, elle le détruit. À l’ère des fake news et la montée en puissance de la désinformation, dénoter le vrai du faux est presque devenu chose impossible. Trois oeuvres nous obligent à faire face à un problème invisible, jouant sur les apparences trompeuses, sur la limite entre le vrai et le faux. Le public est invité à participer de manière active aux installations et à réfléchir au phénomène à travers celles-ci.
BY PHILIPPE LABRIE
Soirée fiévreuse x LeCulte
Installation interactive
+ mapping événementiel
En collaboration avec
Jonathan Gagnon
Jacob Lacasse
Comité expérience interactive
Réalisé dans le cadre du lancement d'automne du magasine Le Culte,
Soirée fiévreuse est une installation interactive en deux chapitres. En un premier temps, un gif booth permettait au participants d'altérer leur image à l'aide d'une sélection de filtres. Par la suite, la gamme de gifs enregistrée était taguée avec une série d'autocollants thématiques puis redistribuée en temps réel au gestionnaire de réseaux sociaux du Culte. En addition, les mêmes gifs était projetés sur le deuxième chapitre de l'installation, une murale constituée d'un amalgame de blocs. De plus, cette même murale exposait les différentes oeuvres de design graphique du magazine. Un franc succès avec plus de 188 gifs enregistrés et redistribués
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